Chroniques littéraires

Le syndrome du spaghetti – Marie Vareille

Titre : Le syndrome du spaghetti
Autrice : Marie Vareille
Publication : 2020
Genre : fiction contemporaine
Édition lue : Pocket
Nombre de pages : 306
Statut : lu du 21/04/24 au 26/04/24
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Synopsis : « La vie, c’est ce qui t’arrive pendant que tu es occupé à faire d’autres plans. » John Lennon
Léa a un talent immense et un rêve à réaliser. Elle avance avec confiance vers un avenir radieux dont elle a planifié les moindres détails.
Dans la cité voisine, Anthony, obligé de faire face à ses difficultés quotidiennes et aux gardes à vue de son frère, ne rêve plus depuis longtemps.
Ils n’ont rien en commun, et pourtant, lorsque la vie de Léa s’écroule, Anthony est le seul à pouvoir l’aider. Leurs destinées s’en trouvent à jamais bouleversées.

Chronique : Depuis le début de l’année, je me suis lancée dans un marathon des romans de Marie Vareille. Effectivement, c’est une autrice dont j’apprécie énormément la plume, mais dont je n’ai pas encore lu tous les titres. Pour rattraper mon retard, j’ai décidé de découvrir chaque mois l’un de ses livres. En avril, je me suis donc tournée vers Le syndrome du spaghetti, tout juste sorti en format poche.
Dès les premières pages, j’ai senti que cette histoire n’allait pas me laisser indifférente. J’avais déjà une vague idée du sujet abordé, ayant écouté plusieurs interviews de Marie Vareille sur ce récit. Toutefois, je n’avais pas imaginé à quel point je serais touchée par les protagonistes. Je me suis beaucoup attachée à Léa, qui est à la fois d’une force incroyable et d’une sensibilité insoupçonnée. C’est précisément cette ambivalence, en fonction des situations, qui m’a donné envie de découvrir toujours un peu plus la suite de son histoire. J’avais envie qu’elle ait son fameux happy end, malgré les circonstances qui n’étaient pas forcément en sa faveur. Sans trop vous en dévoiler, je peux affirmer que j’ai été convaincue par le dénouement !
En dehors de Léa, j’ai ressenti aussi de l’empathie pour Amel, Anthony et Anaïs. Ils ont beau avoir des parcours et des personnalités très différents les uns des autres, ils ont tous réussi à m’émouvoir d’une manière ou d’une autre. Ils ont également fortement contribué au côté addictif de ce récit. Par petites doses, ils ont apporté des rebondissements, mais aussi des instants de tendresse. Grâce à eux, je suis passée par de multiples émotions, qui ne renforcent qu’un peu plus encore le sentiment de m’être trouvée face à un nouveau coup de cœur littéraire.
Côté intrigue, j’ai été emportée par la quête de Léa. Quelle que soit la raison, nous sommes tous confrontés, à un moment ou à un autre, aux aléas de la vie. Découvrir le parcours de cette jeune femme a été inspirant et donne envie de se surpasser pour réaliser ses rêves.
Enfin, la plume de Marie Vareille a, une nouvelle fois, su m’emporter dans son univers. Comme déjà évoqué, j’ai été à plusieurs reprises touchée, passant du rire aux larmes.
En définitive, Le syndrome du spaghetti a été un vrai coup de cœur. Je suis contente d’avoir enfin pu plonger dans cette histoire captivante !

Egalement de Marie Vareille : Elia, la passeuse d’âmes + Elia, la passeuse d’âmes, T.2 + Ecrire un roman + La vie rêvée des chaussettes orphelines + Ainsi gèlent les bulles de savon + Y aura-t-il trop de neige à Noël ? + Noël & Préjugés

4 réflexions au sujet de “Le syndrome du spaghetti – Marie Vareille”

  1. De la même romancière, j’en ai lu deux autres, et c’est vrai que c’est à chaque fois un bon moment de lecture, astucieux et sans prise de tête. Merci pour ce partage!

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