Le Printemps du Livre de Montaigu – 13, 14 et 15 avril 2018

Dans ce nouvel article, je souhaite partager avec vous, en détails, mon week-end passé au Printemps du Livre de Montaigu. Ce salon avait lieu les 13, 14 et 15 avril 2018 au Théâtre de Thalie à Montaigu, en Vendée (85). Sous la présidence de Michel Bussi, le salon accueillait près de 270 auteurs et proposait de nombreuses animations en plus des rencontres et dédicaces des écrivains. Retour sur ces trois jours riches en découvertes et discussions.

Vendredi 13 avril :

Fin de matinée, c’est le départ, direction la Vendée ! Cette fois-ci, je n’emporte pas beaucoup de livres avec moi, seulement On la trouvait plutôt jolie de Michel Bussi, afin de le faire dédicacer par l’auteur. Pour les autres rencontres, je compte faire quelques achats. Les auteurs n’étant pas tous présents les trois jours, j’ai préparé un petit planning pour en voir un maximum et pouvoir échanger avec eux. L’objectif du jour : rencontrer, entre autres, Manon Fargetton et Clarisse Sabard. C’est chose faite et je repars avec mes exemplaires de Quand vient la vague et Les lettres de Rose, deux titres qui me tentaient depuis un petit moment !

Pendant l’après-midi, j’ai eu la surprise de croiser Michel Bussi, Bulledop et Sophie Jomain, qui n’étaient annoncés qu’à partir du samedi. J’ai pu en profiter pour faire quelques photos et achats supplémentaires, à savoir Mon bullet avec Bulledop et le premier tome de la série Les étoiles de Noss Head. Même si les stands n’étaient pas encore tous occupés, j’ai pu faire de belles rencontres et discuter plus longtemps avec certains auteurs, puisque les visiteurs n’étaient pas encore très nombreux. Cette première journée a vraiment été très agréable et s’est terminée en beauté… En effet, plusieurs auteurs ont diné au même restaurant que moi et ont séjourné dans le même hôtel, à quelques minutes du salon. Vous imaginez ma surprise de croiser certains d’entre eux dans l’ascenseur !

Samedi 14 avril :

Après un petit-déjeuner durant lequel j’étais entourée d’auteurs, direction le théâtre de Thalie pour une deuxième journée au salon. Au programme : rencontres, dédicaces et conférences. Profitant qu’il n’y ait pas encore trop de monde à son stand, je décide d’aller saluer Grégoire Delacourt et le remercier d’avoir lu mon mémoire de fin d’études. Pour la petite histoire, je l’avais rencontré au salon Livr’à Vannes en juin 2017 et lui avais présenté mon travail. Il avait alors accepté de le lire et, suite à cela, nous avions échangé des mails. Une fois à sa hauteur, il me reconnaît et me fait la bise (non, je ne suis pas du tout impressionnée à ce moment…). Nous parlons à nouveau de mon mémoire et il dédicace mon exemplaire de La liste de mes envies, en me proposant d’envoyer mon mémoire à Guillaume Musso, le second auteur français que j’ai étudié pendant deux ans. Autant vous dire que la journée ne pouvait pas mieux commencer !

Bien décidée à profiter de ma journée, je continue mon petit tour dans le chapiteau et pars à la rencontre d’Anna McPartlin, auteure irlandaise qui a notamment écrit Les derniers jours de Rabbit Hayes et avec qui j’ai pu échanger directement en anglais, et de Nine Gorman, youtubeuse et auteure du Pacte d’Emma.

Après la pause déjeuner, direction le stand de Michel Bussi pour faire dédicacer On la trouvait plutôt jolie, que j’ai lu en mars. L’auteur étant le président d’honneur de cette 30e édition du Printemps du Livre, il est très sollicité et la foule se déplace en masse pour obtenir une signature. Alors que j’attendais mon tour, un journaliste de Ouest France est venu me poser des questions sur mon rapport à la lecture des romans de Michel Bussi. Comme il est mon auteur favori, vous vous doutez bien que j’ai été très enthousiaste pour répondre à toutes ces questions ! Résultat : j’ai eu le droit à ma petite photo aux côtés de Michel Bussi dans le journal et à un article en version numérique. Un sacré souvenir !
Après 1h30 d’attente environ, vient enfin mon tour pour ma dédicace. J’échange quelques mots avec Michel Bussi, ainsi que ma carte de visite parce qu’il souhaite découvrir mes chroniques. Qui aurait pensé qu’un jour je lui donnerais ma carte ? Sûrement pas moi ! Comme quoi, il faut toujours croire en ses rêves !

Suite à cette rencontre encore riche en émotions, retour au chapiteau pour poursuivre mon petit tour du salon. Mon programme de l’après-midi est encore bien chargé, il ne faut pas que je me laisse rattrapée par le temps. Direction le stand de Marie Vareille et Sophie Henrionnet, où je fais dédicacer mes exemplaires d’Elia, la passeuse d’âmes et Y aura-t-il trop de neige à Noël ? (également signé par Marianne Levy).

Dans le courant de l’après-midi, les allées du chapiteau se sont bien remplies. Je vais faire une petite pause et profiter des escales littéraires qui sont proposées aux visiteurs. C’est ainsi que j’écoute, tour à tour, Bernard Werber, Olivier Norek, Sylvain Forge (que j’avais interviewé en 2017), Lorraine Fouchet et Aurélie Valognes. Eh oui, j’ai finalement craqué pour Code 93 d’Olivier Norek… On sait bien que les romans policiers sont mon petit péché mignon !

Enfin, pour terminer la journée aussi bien qu’elle avait commencé, petit détour par le stand de Patrice Quélard, avant de prendre la direction de l’auditorium du théâtre pour une soirée spéciale en l’honneur de Michel Bussi. Pendant un peu plus d’une heure, nous découvrons l’auteur à travers un groupe de musique qui interprète deux titres : Comme un avion sans aile de Charlélie Couture et Lily de Pierre Perret, en référence aux romans de Michel Bussi, Un avion sans elle et On la trouvait plutôt jolie. Il y a également trois chapitres du Temps est assassin qui sont lus par deux comédiens. Enfin, en plus de répondre à quelques questions, Michel Bussi est amené à jouer au tennis de table, l’une de ses activités passe-temps. C’était une soirée vraiment très agréable et une autre façon de découvrir l’auteur.

Dimanche 15 avril :

Troisième jour sur le salon et on démarre sur les chapeaux de roue avec une table ronde sur les blogueurs et booktubeurs : les nouveaux influenceurs du livre, en compagnie de Bulledop, Nine Gorman, Marie Vareille et Cédrik Armen. C’était une conférence vraiment très intéressante et enrichissante !

Retour au chapiteau, où je fais la rencontre d’Eric Metzger, chroniqueur à Quotidien et auteur, et de Baptiste Beaulieu. Je retrouve également Virginie Grimaldi, que j’avais déjà vue à Livr’à Vannes et Sophie Jomain, à qui j’avais parlé le vendredi.

Je termine l’après-midi avec quatre conférences, toutes plus intéressantes et différentes les unes que les autres. Y sont évoqués les thèmes de l’écriture du premier roman, l’Histoire, les portraits de femmes et l’absence d’un être cher. Étaient présents comme auteurs : Nicolas Gaudemet, Arthur Cahn, Grégory Laburthe-Tolra, Virginie Caillé-Bastide, Dominique Barbéris, Natacha Calestrémé, Grégoire Delacourt, Sonia David, Eric Metzger, Yves Viollier et Cali. Encore beaucoup de sincérité et d’émotion de la part des auteurs pour finir ce week-end déjà très riche.

Je fais un dernier tour du chapiteau, avant de devoir quitter définitivement le salon. Je m’arrête à nouveau au stand de Bulledop et Nine Gorman, pour une dernière photo souvenir. Ce n’est quand même pas tous les jours qu’on rencontre, en vrai, des personnes que l’on suit par le biais d’Internet. Ça donne un peu l’impression d’être entré dans son ordinateur, d’ailleurs !

Les trois jours au salon sont passés à une vitesse folle et il est déjà temps de rentrer. On fait une petite halte à Clisson, pour visiter le centre historique, puis direction la maison ! Je repars la tête pleine de souvenirs, les bras chargés de nouveaux livres et bien décidée à poursuivre mon aventure littéraire parce qu’il est évident que je suis faite pour ça.

Je tiens à remercier tous les auteurs qui ont pris le temps d’échanger avec moi. Je n’ai pas pu tous les citer dans cet article, mais ils ont été très nombreux et tous se sont montrés à l’écoute et prêts à partager leur expérience. Ça a été un week-end fort en émotions et riche en rencontres, un week-end comme je les aime !
Un grand merci également à mes parents, qui m’ont, encore une fois, permis de vivre cette expérience inédite.